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23 mai 2017

DIX QUESTIONS À: Valérie Roberts, animatrice, chroniqueuse et productrice

Vous vivez maintenant à Montréal, mais vous avez grandi en partie à Terrebonne. Racontez-nous de bons souvenirs de vos années passées ici.

J'ai toujours eu un faible pour l'Île-des-Moulins. Avec sa bibliothèque, ses pistes cyclables, ses parcs, et tout ça à proximité de l'eau, j'y ai passé beaucoup de temps. Ex aequo avec le centre commercial, qui m'a vu flâner souvent et longtemps. 

Quel âge aviez-vous lorsque vous avez remporté le concours «VJ Recherché» de MusiquePlus en 2007? Quel a été l'impact de cette expérience sur la suite de votre carrière?

J'ai gagné «VJ Recherché» lorsque j'avais 20 ans et ça a complètement bouleversé ma vie. Je ne pense pas que je serais où je suis 10 ans plus tard si je n'avais pas participé à ce concours. Il m'a donné des ailes et il m'a confirmé que c'était le métier que je voulais pratiquer. 

Quand et comment avez-vous développé votre passion pour la musique et pour le monde des arts et de la culture en général? 

Quand j'étais jeune, je vivais dans un univers très musical. Chez ma mère, il y avait constamment de la musique qui jouait et c'était la même chose chez mon père, qui s'amusait même à copier les cassettes qu'il achetait pour que j'en possède plus dans ma collection! Sinon, j'ai toujours été attirée par les arts et la culture. Je ne peux même pas mettre le doigt sur le moment où ça s'est développé puisque c'est inné. 

Vous étiez l'envoyée spéciale de Radio-Canada à Los Angeles lors de la cérémonie des Oscars en 2012. Racontez-nous brièvement cette expérience. S'agit-il de votre plus belle affectation à ce jour? 

Il s'agit assurément de l'affectation la plus belle, mais aussi la plus exigeante que j'ai eu le privilège de vivre. Je travaillais 14 heures par jour, à faire des directs, des entrevues et à monter des reportages. J'ai suivi la course aux Oscars de Philippe Falardeau avec «Monsieur Lazhar» et j'ai eu la chance de vivre des moments uniques. Par exemple, c'est moi qui lui ai mis ses boutons de manchette avant qu'il parte pour le tapis rouge. Ce fut de longues journées et énormément de travail, mais ce fut un réel bonheur. 

Depuis le début de votre carrière dans le monde des médias, vous avez eu la chance de goûter à la télé, à la radio et à la presse écrite. Si vous n'aviez qu'à en choisir un, quel serait votre choix, et pourquoi?

C'est la seule question à laquelle je ne pourrai pas répondre. J'aime la télé, la radio et la presse écrite parce que c'est ma vie depuis 10 ans. Et j'adore ça! 

Quel serait votre emploi ou alors votre entrevue de rêve? Croyez-vous pouvoir atteindre ce rêve?

Je souhaite être un jour à l'animation d'une émission qui rassemble mes passions. Je crois encore à la culture à la télévision, c'est pourquoi j'aimerais que l'on parle de mode, de musique, de danse, de théâtre, mais aussi de restaurants, de vin, etc. Le concept reste encore à définir dans ma tête, mais j'ai le temps en masse d'y réfléchir. 

L'année dernière, vous avez senti le besoin de partager un long texte au sujet de vos nombreux tatouages. Pourquoi?

Parce qu'on me parle constamment de mes tatouages. Je vis bien avec cette situation puisque c'est tout de même moi qui ai choisi d'avoir autant de couleur sur ma peau, mais parfois, j'ai le goût qu'on passe à autre chose. J'ai eu besoin d'écrire ce texte pour dire tout ce que j'avais à dire à ce sujet... pour passer à autre chose.

Vous êtes mariée (deux fois plutôt qu'une!) au chef bien connu Martin Juneau depuis un peu plus d'un an. Comment vous êtes-vous rencontrés et qui prépare les repas à la maison?

Nous nous sommes rencontré sur le plateau de l'émission «Par ici l'été» à ICI Radio-Canada. Ce fut un coup de foudre dans la salle de maquillage, la première journée de l'été. Et je confirme que c'est lui qui cuisine à la maison. Chacun ses forces! 

Parlez-nous de votre websérie documentaire «Amuse-bouches» que vous avez créée avec votre mari. Après quelques mois seulement, plus de 9 000 personnes vous suivent sur Facebook. 

Oui et nous en sommes tellement heureux! «Amuse-Bouches», c'est un thème que nous décortiquons chaque mois avec des reportages, des entrevues et des invités autour d'un grand souper. Nous avons parlé de l'argent, du mariage, des passions, de la relève, etc. Nous avons un plaisir fou à nous dépasser dans les «brainstorms» pour trouver un angle original, pour nous distinguer des autres émissions. Nous avons des gens qui nous suivent fidèlement et c'est merveilleux de constater le dialogue que nous créons avec eux. 

Vous êtes très sollicitée dans l'univers médiatique, tous types de médias confondus. Que faites-vous de vos temps libres?

J'avoue que les temps libres sont une denrée rare dans mon agenda. Mais quand ça arrive, j'aime passer des heures à discuter avec ma famille et mes amies autour d'un bon repas et d'une bouteille de vin. J'aime écouter une série ou un film pour être divertie et informée. J'aime aller marcher dans les boutiques de Montréal. Je n'ai pas tant changé depuis les journées où je flânais aux Galeries Terrebonne! (rires)

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