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Retour27 mars 2018
ENTREPRENEURS D’ICI : Deux avocats, une famille, une seule vision

©Frère, sœur, amis et partenaires d’affaires, Pierre-André et Isabelle Viens sont au service des gens. (Photo : courtoisie)
Les avocats Isabelle et Pierre-André Viens sont plus que simplement sœur et frère. Ils sont complices, amis, mais surtout, ils sont associés et partenaires à l’étude légale de Terrebonne Viens & Viens avocats.
Le temps des Fêtes 2013 aurait été déterminant pour ces enfants d’entrepreneurs.
«Pendant cette période des Fêtes, nous nous sommes regardés tous les deux et nous sommes dit : pourquoi pas un bureau d’avocats) à nous? Nous sommes des enfants d’entrepreneurs, nous nous entendons très bien et nous partageons la même vision», mentionne Isabelle Viens.
Bien qu’ils travaillent ensemble depuis 2009, ils se sont donc lancés dans l’aventure de l’entrepreneuriat en 2014.
Esprit de justice
Être avocate, Isabelle en parle depuis son primaire. «Je crois que j’avais ça en moi. J’ai toujours eu un esprit de justice. Je montais aux barricades pour les autres et j’avais une bonne capacité pour argumenter, disons», raconte l’avocate.
Pour Pierre-André, ça a été quelque peu différent. «C’est venu plus tard, spécifie-t-il. Ce n’était pas écrit dans le ciel dans mon cas. Je me dirigeais vers une autre profession. Plus jeune, je voulais être pilote d’avion. Quant au droit, je me suis décidé lorsque je suis entré au cégep. Il est vrai toutefois que je discutais beaucoup de droit avec Isabelle et l’intérêt y était.»
Conserver leurs valeurs
Toujours être disponibles pour leurs clients en les prenant en charge et ne pas dire uniquement ce que le client veut entendre représentent quelques défis auxquels ils doivent faire face.
«On aime tous deux se donner des défis et ce n’est pas rare qu’on nous donne des dossiers plus difficiles», souligne Pierre-André. «L’important, c’est la transparence. Nous devons faire en sorte de conserver ces valeurs. La croissance pour nous ne se fera pas à n’importe quelles conditions ni au détriment de nos valeurs», précise en conclusion l’avocat.
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