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23 octobre 2018

Dix questions à Lucie Lecours, députée de la circonscription Les Plaines

©Lucie Lecours, députée de la nouvelle circonscription Les Plaines.

Pourquoi vous impliquer en politique?

Parce que tout est politique! Notre quotidien en tant qu’individu, parent, entrepreneur, contribuable est… politique! Aussi, pour celui ou celle qui décide de s’impliquer, cela donne la chance de pouvoir changer les choses, changer le cours des événements lorsque requis. J’ai toujours dit que tu ne peux te permettre de critiquer si tu ne votes pas. Moi, j’ai voulu aller plus loin en m’impliquant directement.

Quelles compétences croyez-vous que François Legault a reconnues en vous?

Nous avons beaucoup parlé avant que je décide de m’investir, et ce que M. Legault a reconnu en moi, ce sont mes compétences de gestionnaire, de leader et mon passé en communications. M. Legault cherchait aussi des femmes impliquées dans leur communauté, ce que je suis depuis toujours, partout où je suis passée.

Comment vos expériences vous aideront-elles dans votre travail de députée?

D’abord et avant tout parce que je suis quelqu’un qui est à l’écoute des gens. C’est une qualité recherchée chez les députés en général, c’est aussi une de mes forces. Comme journaliste, il y a longtemps, comme gestionnaire aussi.

Quel rôle souhaitez-vous jouer au sein du nouveau gouvernement?

Le rôle de députée ouverte, à l’écoute et au service du citoyen, est aussi le tout premier rôle que j’entends mener de main de maître. C’est ce pour quoi les gens de la circonscription Les Plaines m’ont d’ailleurs élue.

Quels seront vos plus grands défis en politique?

Bien mener mon rôle de parlementaire, parce que je sais pertinemment que dans cette toute nouvelle circonscription, mon équipe et moi ferons tout en notre pouvoir et avec nos compétences pour être à la hauteur des attentes des citoyens.

Comme ancienne journaliste, que comptez-vous faire pour la sauvegarde des hebdos locaux?

L’information ou plutôt le droit à une information juste, précise et objective est très important pour moi et cela ne changera pas. Les hebdomadaires sont essentiels en ce sens où ils livrent de l’information locale que les gens n’auraient peut-être pas autrement.

Journaliste, quels étaient vos sujets préférés?

La politique, municipale et provinciale, bien évidemment, mais aussi les dossiers communautaires, ce que les gens, les bénévoles font pour la population. Ils étaient mes dossiers de prédilection.

La politique étant ce qu’elle est, comment composerez-vous avec les critiques?

C’est dans la nature des choses que de critiquer ou d’être l’objet de critiques. Je n’ai aucun problème à vivre avec les critiques, pourvu qu’elles soient fondées. Elles peuvent aussi contribuer à des ajustements, ou encore on les ignore lorsqu’on sait qu’on a bien travaillé, avec nos objectifs en tête, nos valeurs et notre programme.

Jusqu’à maintenant, quelle a été votre plus grande réussite?

Partout où je suis passée dans ma vie, j’ai eu de belles réussites. Et je le dis bien humblement parce qu’on a toujours quelque chose dont on peut être fier. Mais au-delà des réussites ou des réalisations, c’est le côté humain. J’aime bien la gestion du personnel, même si parfois, cela peut être plus difficile. Mais c’est toujours une réussite lorsque les gens sont heureux autour de toi.

Vous siègerez plusieurs jours à Québec. Est-ce qu’il y a un quartier que vous affectionnez?

Le Vieux-Québec! Il y a un cachet extraordinaire, historique.

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