Politique
Retour15 janvier 2021
Michel Boudrias disponible malgré le confinement
©Courtoisie
« Nous sommes toujours là pour vous », rappelle le député fédéral de Terrebonne, Michel Boudrias.
Le député fédéral de Terrebonne, Michel Boudrias, rappelle aux citoyens que son équipe demeure disponible durant cette période de confinement. « En tant que service essentiel à la population, c’est sûr qu’on fait tout ce qui est possible afin de maintenir au maximum les services aux citoyens, dans le respect des normes de la Santé publique », fait-il savoir.
En cette année qui commence sous un couvre-feu – « une première de mémoire d’homme au Québec », souligne l’élu –, il affirme que son équipe redoublera d’efforts afin de continuer à travailler sur ses dossiers à distance. Les messages téléphoniques et les courriels seront constamment pris. « On va privilégier le travail à distance. À moins d’une urgence, le bureau est fermé au public jusqu’au 8 février. Mais il faut que le travail se fasse », rappelle le député. « Depuis mars 2020, on a réussi à garder le cap malgré les confinements », se félicite-t-il, saluant le travail de son équipe, laquelle a mené plus de 1 200 dossiers auprès de différentes instances à Ottawa. « Ça demande une certaine adaptation, et on s’attend à la même rigueur du côté de l’administration fédérale », lance-t-il comme une pointe en direction du gouvernement fédéral. « Certains citoyens nous ont dit être découragés face au monstre bureaucratique », ajoute-t-il en mentionnant à cet effet que son bureau est justement là pour cette raison : « Si vous vous butez à un cul-de-sac administratif, c’est le temps de nous appeler! »
Des souhaits pour 2021
M. Boudrias profite de ce début d’année pour souhaiter à tous les citoyens et citoyennes de Terrebonne une bonne et heureuse année. Son souhait le plus cher pour la nouvelle année est que tous puissent se rassembler à nouveau. « Pour un politicien de terrain, c’est très difficile d’avoir perdu le contact direct avec le citoyen. On a hâte de reprendre un semblant de vie publique, de pouvoir serrer des mains à nouveau », conclut le député de Terrebonne. (PC)
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