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03 mars 2021

Pénélope Clermont - pclermont@lexismedia.ca

Faire rayonner le parcours de chacune

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Caroline Banville est devenue associée d’un cabinet de comptables à une époque où l’exploit n’était pas commun.

À l’approche de la Journée internationale des femmes, Mallette rend hommage aux femmes qui contribuent jour après jour à son succès. Consciente de la précieuse expertise qu’elles mettent au service de sa clientèle, la société de comptables professionnels agréés réaffirme sa volonté de les faire rayonner en leur offrant un environnement de travail stimulant et valorisant propice à leur épanouissement personnel et professionnel.

Ce cadre de travail dynamisant et gratifiant, Caroline Banville, CPA auditrice, CGA, le côtoie depuis 21 ans. Depuis que, enceinte de son deuxième enfant, elle passait l’entrevue qui allait la mener de responsable de dossiers à associée, dix ans plus tard. « Un peu avant d’obtenir cette promotion, j’avais dîné avec des clients et mon associé avait été tout fier de dire que l’an prochain, je n’allais plus être du rendez-vous avec eux, car j’allais moi-même devenir associée. La cliente m’avait fait prendre conscience des barrières et des préjugés que je faisais tomber en devenant associée d’un cabinet de comptables, se souvient-elle. Et ça ne fait que onze ans! » La chose était en effet peu commune à l’époque, mais encore : en un an et demi, deux femmes étaient devenues associées au sein du cabinet. « C’était nouveau », reconnaît Mme Banville, qui croit qu’on n’en est plus là en 2021.

À juste titre, les bureaux régionaux de Mallette regroupent aujourd’hui 116 femmes sur 147 employés, incluant les stagiaires temporaires. On retrouve par ailleurs 25 directrices sur un total de 40, contre 4 associées sur 14. Cette dernière statistique pourrait être plus équilibrée, mais il faut laisser au temps le temps de faire les choses, comme on dit.

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Véronique Tellier apprécie le fait qu'elle ait eu la chance de progresser au sein de l’entreprise au moment où elle l’avait choisi.

Évoluer à son rythme

Selon Mme Banville, les femmes prennent plus de temps que les hommes à accéder pour des postes supérieurs, préférant laisser grandir les enfants avant de prendre des responsabilités supplémentaires. Cela a été son cas, comme cela a été le cas de Véronique Tellier, CPA auditrice, CA, devenue directrice principale en certification en septembre dernier. « Je suis arrivée au cabinet, j’avais deux enfants et il avait été convenu avec mon conjoint que je prenne plus de charges à la maison, dévoile-t-elle, mais quand les enfants sont entrés à l’école, je me suis retrouvée avec plus de temps et l’envie de monter les échelons. J’ai commencé à en parler et quand les opportunités sont arrivées, je les ai saisies. »

N’ayant jamais ressenti de pression de la part de ses employeurs ou de ses collègues pour prendre plus de responsabilités, Mme Tellier est reconnaissante d'avoir eu la chance de progresser au sein de l’entreprise au moment où elle l’a choisi. Il faut dire que la force du nombre et que l’ampleur prise par Mallette au fil des ans permettent à son équipe de briller là où elle se sent bien. « C’est agréable d’avoir la possibilité de grandir dans un cabinet d’envergure en région, à quelques minutes de chez soi », illustre la professionnelle.

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Marie-Noëlle Couture est reconnaissante de la flexibilité dont elle bénéficie afin de concilier travail et famille.

Dans la même veine, Marie-Noëlle Couture, CPA et CGA, aussi directrice en fiscalité, a non seulement pu gravir les échelons à son rythme, mais tout un volet du cabinet a été construit à partir de son expertise. « Quand je suis arrivée, il n’y avait pas d’équipe de fiscalité. J’ai donc amené le département à se développer et j’ai suivi encore plus de formations spécialisées étant donné qu’on voulait développer ce service autour de moi », résume-t-elle.

Une flexibilité qui n’a pas de prix

À ce moment de sa carrière, Mme Couture, qui était aussi mère de famille, a alors plus qu’apprécié la flexibilité dont elle a joui afin de concilier travail et famille. « En étant la seule à œuvrer en fiscalité, j’étais aussi la seule à pouvoir chapeauter le département. Si un de mes enfants était malade, j’avais la chance de pouvoir faire du télétravail, ce qui n’était pas la norme à l’époque, et si je n’avais pas le temps de tout faire le jour, je pouvais reprendre mes heures le soir », salue celle qui n’avait pas obtenu la même ouverture de la part d’un autre cabinet où elle avait œuvré en début de carrière. « Il y avait énormément de compétition et les gens ne vivaient que pour travailler. Ce n’était pas ma philosophie et c’est une des raisons pour lesquelles je suis partie, poursuit-elle. Le style de Mallette me représente plus. »

Les trois femmes s’entendent en effet pour dire que ce qui fait la force de Mallette, outre la qualité des professionnelles qui le composent, est cette possibilité qu’ont ses employés d’arrimer leur vie de famille à leur carrière. Mme Banville se souvient encore du spectacle de 15 minutes que donnait sa fille à l’école et auquel elle avait pu assister en pleine semaine. « Quel parent qui travaille à Montréal peut faire ça? Moi, je pouvais », se remémore-t-elle en ressentant encore des frissons. Ces moments ne se rattrapent pas.

Cette conciliation travail-famille et cet intérêt à développer son plein potentiel sont possibles, car ces professionnelles savent qu’elles ont la confiance de leurs patrons. « Cette confiance qu’ils m’ont accordée est précieuse. Elle n’a pas de prix pour la mère de famille », conclut l’associée qui s’assure en retour d’offrir les mêmes conditions de travail aux membres de son équipe.

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