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Retour24 mars 2021
Mélanie Savage - msavage@medialo.ca
La priorité : être présents pour la population
REGARD SUR LA PANDÉMIE - UN AN DE LUTTE CONTRE LA COVID-19

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Pierre Fitzgibbon, député de Terrebonne à l'Assemblée nationale
Témoignage de Pierre Fitzgibbon, député de Terrebonne, de Lucie Lecours, députée de Les Plaines et de Mathieu Lemay, député de Masson
Quand la pandémie de COVID-19 a frappé il y a un an, la population s’est retrouvée plongée dans l’inconnu. Les questions, les inquiétudes, les besoins se sont rapidement multipliés. Les députés et leurs équipes ont été fort sollicités, et ils se sont assurés de répondre présent même si pour eux également, cette crise était du jamais vu.
Répondre aux nombreuses questions des citoyens a été la première préoccupation des députés de Terrebonne, Pierre Fitzgibbon, de Masson, Mathieu Lemay, et de Les Plaines, Lucie Lecours. « À tous les points de vue, les citoyens s’inquiétaient de la COVID, des mesures sanitaires, des restrictions, etc. Nous devions être à l’écoute de toutes les préoccupations », se souvient M. Fitzgibbon.
Puis, les besoins en aide alimentaire ont rapidement suivi. « Il fallait aider les gens qui se retrouvaient sans revenus à passer à travers les semaines sans que leur santé ni celle de leur famille ne soient mises en péril », rappelle Mme Lecours. Les trois élus caquistes ont alors offert leur soutien aux organismes concernés. « Avec l’aide de mon équipe, j’ai contacté tous les organismes de Masson et nous leur avons offert une aide financière via notre programme de soutien à l’action bénévole », confirme M. Lemay.

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Lucie Lecours, députée de Les Plaines
Du bon
Heureusement, la pandémie n’aura pas eu que des effets négatifs. Elle aura permis au Québec, remarque le député de Terrebonne, d’apprendre « à s’approvisionner adéquatement en équipements de protection individuelle », une stratégie qui devra être maintenue après la pandémie, dit-il. À plus grande échelle, Lucie Lecours pense aussi que la crise a fait ressortir l’importance pour le Québec d’être « plus autonome, notamment en agroalimentaire, en médicaments, dans les technologies numériques », bref, dans « tous les maillons de la chaîne d’approvisionnement ». Pour le député de Masson, « l’engouement pour l’achat local » est maintenant un réflexe répandu qui demeurera certainement une fois la crise passée.
Tous trois soulignent également que la pandémie aura fait montre de toute la résilience et de toute la solidarité dont les Moulinois et les Québécois sont capables.
Propos recueillis par Pénélope Clermont

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