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20 août 2021

Pénélope Clermont - pclermont@lexismedia.ca

Les spiritueux ont coulé à flot

FESTIVAL OCTENBULLE

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©Pénélope Clermont - La Revue

Malgré le fait que le site n’était pas rempli, le 19 août, l’ambiance était à la fête.

C’est le jeudi 19 août que le Festival Octenbulle a pris son envol au parc du Grand-Coteau à Mascouche. Dame Nature a quelque peu atténué les ardeurs des festivaliers en cette soirée de lancement, mais les amateurs de spiritueux et de cocktails ont bel et bien été du rendez-vous toute la fin de semaine avec un total de 2 750 visiteurs.

C’est au son de la musique de Patch Safari, de B to B et de Hools que les premiers visiteurs ont pu faire leur entrée sur le site, le 19 août. Quelque 250 personnes étaient inscrites sur la liste des visiteurs pour cette première soirée du festival de spiritueux et de la mixologie, dont le maire de Mascouche, Guillaume Tremblay, qui affichait un air particulièrement festif. « C’est un événement que nous sommes très fiers d’avoir apporté de Boucherville à Mascouche. Dans l’histoire de Mascouche, on a eu l’Oktoberfest et on l’a perdu. Octenbulle ramène une belle dynamique. Et on est bien contents d’offrir l’entrée gratuite aux Mascouchois. C’est un festival très représentatif de Mascouche, une ville jeune! » s’est exprimé M. Tremblay, qui a confié s’être senti comme une « coqueluche » en arrivant sur le site tellement les visiteurs le remerciaient pour le Festival. « On sent que les gens avaient ce besoin, mais ce n’est pas moi qui l’organise », a-t-il rappelé en riant. Il a d’ailleurs profité de sa présence au micro pour saluer le travail de Claude Demers et de Dominic Tétrault, les deux organisateurs.

Défi relevé

Heureux de voir son événement être enfin lancé, M. Demers demeurait sur le qui-vive, prêt à réagir à tout imprévu devant le Festival qui était loin d’être terminé. « La première journée, c’est là qu’il faut tout faire entrer dans l’entonnoir et des fois, ça ne passe pas vite, a-t-il illustré, mais là, c’est fait! »

Il faut dire que mettre sur pied un festival en pleine pandémie, avec toutes les contraintes que cela impose, n’est pas chose facile. « L’essence même d’Octenbulle est de célébrer et se rassembler. Alors, créer quelque chose de festif dans un contexte où on est sur le break, c’est vraiment difficile », a relaté l’organisateur, qui considère avoir tout de même réussi à transformer certaines situations en occasions. Par exemple, en proposant une formule de consignations pour les producteurs de spiritueux, dont ceux établis en région plus éloignés qui n’étaient pas en mesure de se déplacer. « On présente nous-mêmes leurs produits, détaille M. Demers, ce qui amènera une formule hybride l’an prochain : des exposants sur place et d’autres sous forme de consignes. »

Cette nouvelle façon de faire, dans le contexte où le site ne pouvait accueillir d’exposants, a permis au Festival de proposer une quarantaine de produits différents cette année, lesquels pouvaient être dégustés jusqu’à dimanche soir, et ce, au son de la musique de DJ, dont le porte-parole de l’événement, MC Mario, qui était en prestation samedi soir, lors d’une séance affichant complet.

« Nous sommes très satisfaits! s’est exclamé M. Demers au terme de l’événement. De belles idées sont nées de cette édition spéciale. Ça promet pour l’an prochain! »

©Pénélope Clermont - La Revue

Les organisateurs du Festival Octenbulle, Claude Demers et Dominic Tétrault, entourant le maire de Mascouche, Guillaume Tremblay.

©Pénélope Clermont - La Revue

L’événement propose une quarantaine de spiritueux différents tout au long du week-end.

©Pénélope Clermont - La Revue

DJ Hools en pleine action.

©Pénélope Clermont - La Revue

©Pénélope Clermont - La Revue

©Pénélope Clermont - La Revue

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