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15 septembre 2021

Valérie Maynard - vmaynard@lexismedia.ca

Le dossier De Choinière à l’avant-scène

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©archives

Le maire Marc-André Plante a dû répondre à plusieurs questions des représentants syndicaux et des membres de l’opposition concernant la situation d’emploi actuelle d’Alain De Choinière (sur la photo).

L’avis d’infraction signifié par le Directeur général des élections du Québec au chef de cabinet du maire de Terrebonne, le 1er septembre, s’est retrouvé au cœur de la séance municipale du 13 septembre.  

Le maire Marc-André Plante a dû répondre à plusieurs questions des représentants syndicaux et des membres de l’opposition concernant la situation d’emploi actuelle d’Alain De Choinière. « M. De Choinière avait un contrat de travail à durée déterminée avec la Ville », explique le premier magistrat. C’est ce contrat qui a été rompu, « d’un commun accord », précise-t-il, avant d’ajouter qu’aucune prime de transition n’était prévue au contrat.

Quant aux frais d’avocat liés à l’éventuelle défense de M. De Choinière, ceux-ci pourraient, en vertu de l’article 604,6 de la Loi sur les cités et villes, être admissibles aux fins de remboursement par la Ville de Terrebonne. Refusant d’envisager ce qui pourrait hypothétiquement survenir, le maire a toutefois indiqué que M. De Choinière ne lui avait pas « signifié son désir de réclamer quoi que ce soit ».

Pour Marc-André Michaud, conseiller dans le district des Pionniers, c’est trop peu, trop tard. Sa question concernant l’implication du maire dans cette histoire est demeurée en suspens. « Ce qu’on voudrait savoir, c’est si la commande est venue du maire », souligne-t-il, faisant référence à la rencontre filmée, en mars dernier, entre M. De Choinière et le conseiller municipal Réal Leclerc.

Rappelons que les faits reprochés à M. De Choinière constituent une manœuvre électorale frauduleuse au sens de l’article 645 de la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités. L’amende minimale pour cette infraction est de 5 000 $.

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