La première journée de M. Villandré a été marquée par la tenue d’une séance municipale, ce qui a permis au maire Mathieu Traversy de saluer publiquement son arrivée. « Je ne pourrais ignorer la venue d’une nouvelle personne autour de cette table qui nous fait le plaisir d’apporter son expérience et sa contribution à la gestion de la Ville de Terrebonne. Nous sommes très chanceux de vous avoir parmi nous », a-t-il déclaré.

Respect, collaboration et bienveillance

À son tour, M. Villandré s’est dit heureux de se joindre « à la belle et grande équipe chevronnée de la Ville de Terrebonne ». « J’entreprends ce défi avec humilité », a-t-il dit.

D’entrée de jeu, le nouveau directeur général a évoqué le respect, la collaboration et la bienveillance. « Ce sont les valeurs phares de ma carrière en gestion. Je travaille en partenariat », a-t-il souligné. Parmi ses premiers engagements, M. Villandré compte aller à la rencontre de tous les employés d’ici l’été. « Je veux entendre de leur bouche ce dont ils sont fiers, ce dont ils ont besoin pour bien faire leur travail et ce qu’ils aimeraient réaliser. »

Serge Villandré a œuvré pendant plus de 18 ans à l’Office municipal d’habitation de Montréal, où il a occupé divers postes de direction, avant d’occuper le poste de directeur de l’arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, à Montréal.

Quant à Alain Marcoux, il avait profité de la séance extraordinaire du conseil tenue le 28 mars pour remercier les élus. « Les cinq derniers mois ont stimulants et emballants, et font partie de la retrouvaille de ma santé. Pour être en santé, il y a le corps, mais il y a aussi les neurones. Ensemble, avait-il dit en s’adressant au maire, on a fait en sorte que mon corps se rétablisse et que mes neurones restent vivants », avait-il déclaré en référence à son arrêt de travail de plusieurs mois l’an dernier. M. Marcoux retient de son passage à Terrebonne la mise en place d’une culture de l’amélioration continue et d’une gestion axée sur les résultats. « Dans cette perspective, il y a de l’espoir, il y a de l’avenir », avait-il conclu.