Le propriétaire du IGA de Saint-Lin-Laurentides obtient son avatar

©Gracieuseté

L’avatar de Philippe Crégheur, épicier IGA dans la région de Saint-Lin-Laurentides.

Philippe Crégheur, marchand propriétaire du IGA Famille Crégheur à Saint-Lin-Laurentides, a récemment été choisi pour devenir le tout nouveau visage d’IGA à l’occasion de la nouvelle campagne publicitaire lancée en marge des Jeux olympiques.

Celui qui est marchand IGA depuis maintenant 28 ans a désormais un avatar IGA élaboré à son image et avec sa voix. Il s’agit d’une expérience hors du commun pour le marchand propriétaire qui contribue également à faire rayonner la profession d’épicier et représente une belle fierté pour la région.

Un processus impressionnant

Un processus de modélisation 3D a été nécessaire pour créer l’avatar à son image. Par la suite, M. Crégheur a dû se rendre en studio pour l’animation et l’enregistrement de la voix du personnage. Il a d’ailleurs eu l’aide de professionnels du doublage afin de créer le meilleur résultat possible.

Lors de son entrevue avec La Revue, l’épicier nous a parlé des motivations derrière cette aventure. « Lorsqu’ils m’ont sollicité pour savoir si j’étais intéressé, j’ai tout de suite accepté. Je pense que c’est une belle marque de reconnaissance lorsque l’on nous propose ça », explique-t-il, soulignant la gratitude qu’il ressent face à cette opportunité.

Le processus pour devenir un avatar IGA n’est pas anodin. M. Crégheur raconte qu’il a dû envoyer des photos de lui de côté, de devant, de derrière, juste du visage, habillé avec un habit d’épicier et plus décontracté avec un polo.

« Après tout ça, ils ont fait l’avatar », dit-il.

Philippe a pu voir la version finale de son avatar et sa réaction a été des plus positives : « J’ai trouvé ça vraiment chouette. Je suis resté bien surpris parce qu’il me ressemble beaucoup. Quelqu’un qui me connait verrait que c’est moi ».

Diffusion durant les Jeux olympiques

L’annonce, qui est diffusée durant les Jeux olympiques, met en avant non seulement les produits locaux, mais également la profession d’épicier. Pour lui, c’est une belle opportunité de mettre en lumière un métier souvent méconnu. « Ça met les marchands, ça met le métier d’épicier sous les projecteurs. Ça montre que ça existe, le métier d’épicier ».

En réfléchissant à ce que cette expérience représente pour lui, le marchand mentionne la fierté d’être choisi et l’importance de la visibilité que cela apporte à son métier et à sa région.

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