Une première étude des crédits budgétaires à l’Assemblée nationale pour Catherine Gentilcore

©Gracieuseté

Catherine Gentilcore, députée de Terrebonne.

La députée de Terrebonne, Catherine Gentilcore, a terminé le 7 mai sa toute première participation à l’étude des crédits budgétaires à l’Assemblée nationale. Pour l’élue péquiste, cet exercice parlementaire a constitué une occasion de taille pour questionner le gouvernement de la Coalition Avenir Québec (CAQ) et défendre les priorités de sa circonscription.

L’exercice de l’étude des crédits, qui s’est étalé sur plusieurs semaines, permet chaque année aux élus de questionner les ministres sur les orientations financières et les priorités de leurs ministères. Pour la nouvelle députée, cet exercice rigoureux représente bien plus qu’une simple formalité parlementaire. « Comme nouvelle députée, l’étude des crédits a été extrêmement formatrice », a-t-elle déclaré par voie de communiqué. « Elle m’a permis de mettre à l’épreuve 11 ministres différents, de poser une trentaine de questions sur les choix de la CAQ et surtout de faire valoir notre point de vue sur ceux-ci. »

Des dossiers locaux prioritaires

Les interventions de Mme Gentilcore ont porté sur neuf dossiers locaux jugés prioritaires pour Terrebonne. Parmi ceux-ci figurent des enjeux aussi variés que la condition féminine, le logement, l’itinérance, la culture et le développement économique. Autant de sujets qui, selon l’élue, ont un impact direct sur la qualité de vie de la population de Terrebonne.

« Bien que certaines réponses n’étaient pas à la hauteur des attentes des citoyens de Terrebonne, j’ai assumé mon rôle avec sérieux afin que les enjeux de Terrebonne soient bien compris et considérés dans la gestion des portefeuilles ministériels », a-t-elle soutenu. Elle estime que cette première participation marque le début d’un travail assidu qu’elle entend poursuivre tout au long de son mandat.

Pour Catherine Gentilcore, la transparence et la reddition de comptes demeurent au cœur de son approche. Elle dit vouloir s’assurer que les décisions prises à Québec reflètent les réalités vécues sur le terrain à Terrebonne. « J’avais promis de redonner une voix forte à Terrebonne et c’est ce à quoi je me suis affairée depuis mon arrivée », a-t-elle conclu.

L’élue entend continuer sur cette lancée en suivant de près les développements liés aux dossiers locaux, tout en maintenant une présence active à l’Assemblée nationale. Selon elle, cette première étude des crédits pose les bases d’une représentation rigoureuse et ancrée dans les besoins réels de sa circonscription.

Commentaires