St-Hubert heureux de son arrivée

  • Publié le 14 janv. 2023 (Mis à jour le 29 avr. 2025)
  • Lecture < 1 minute
Naomie Briand

Dans sa tournée du CentrOparc afin de souhaiter la bienvenue aux entreprises qui s’y sont établies, le maire de Mascouche, Guillaume Tremblay, n’a pas manqué faire un arrêt à l’entrepôt de la chaîne de rôtisseries St-Hubert. Tour d’horizon au « pays de la sauce ».

C’est tout sourire qu’Yvon Coulombe et Éric Couture, respectivement directeur logistique et gestionnaire de projet, ont ouvert les portes de l’entrepôt de 100 000 pieds carrés au groupe, dont faisait partie La Revue. Dans ce mégacentre de tri de 20 M$ où l’on travaille sur trois quarts de travail, on remplit à la chaîne les 16 camions qui approvisionnent les restaurants et les épiceries de produits St-Hubert.

À l’intérieur, les palettes de toutes sortes se croisent : 1 500 de congelé, 225 de frais et 6 900 de sec. De la sauce? Il n’en manque pas!

L’entreprise a choisi de déménager son centre d’Anjou à Mascouche parce que son bail arrivait à terme, mais aussi pour avoir des possibilités d’agrandissement. Le CentrOparc lui offre la chance d’ajouter 30 000 pieds carrés, au besoin. « Le changement était bon », se félicite Yvon Coulombe.

Main-d’œuvre

La rétention de la main-d’œuvre est bien entendu un facteur d’importance. Dans cette usine, une cinquantaine de travailleurs sont nécessaires pour faire rouler les opérations, à des salaires pouvant atteindre 20 $ de l’heure.

Le nouvel enjeu sera d’y assurer une couverture adéquate de transport en commun, pour en faciliter l’accès aux travailleurs. « Quand Congébec sera au coin de la rue (l’usine étant en construction au moment de la visite), ce sera congestionné », mentionne au passage Yvon Coulombe. Un commentaire que le maire Tremblay semble avoir bien entendu.

Articles les plus consultés

Chantal St-Jules, présidente du SCFP, section locale 4361 et Geneviève Ollivier, directrice générale de la RAIM. Au deuxième rang : Guillaume Tremblay, maire de Mascouche, Lise Gagnon, 1re vice-présidente du conseil d’administration de la RAIM et conseillère municipale à la Ville de Mascouche, Benoit Ladouceur, président du CA de la RAIM et conseiller municipal à la Ville de Terrebonne, et Mathieu Traversy, maire de Terrebonne. (Photo gracieuseté)
Actualités
Économie

La RAIM s’entend avec le Syndicat canadien de la fonction publique

Après 10 séances de négociation, la RAIM et le SCFP ont signé une nouvelle convention collective d’une durée de cinq ans.