La musique dans le sang

Publié le 23 nov. 2025
Lecture < 1 minute

Sabrina Quesnel-Bolduc

Partagez sur Facebook Partagez sur Twitter Partagez sur LinkedIn

La famille Pelletier. 
Photo Studio First Class. — La famille Pelletier.  Photo Studio First Class.

Au cœur de Mascouche se trouve une famille qui garde en vie les traditions musicales de leurs aïeuls. Le 8 novembre dernier, l’artiste émergent Dave Pelletier sortait son deuxième album folk, Miroir sur la lune, réalisé en collaboration avec son fils Mathis Pelletier.

L’histoire de la famille Pelletier a pris racine autour de leur amour pour la musique. Avec sa femme, Stéphanie Bayard, ils inculquent leur passion à leurs deux garçons dès leur naissance.

« La musique jouait toujours dans la maison et il y avait des instruments partout », explique Dave Pelletier. Il a toujours habité dans une maison où la musique faisait partie intégrante. « J’ai grandi dans de grands rassemblements familiaux où l’on jouait de la musique toute la soirée. Puis, quand mes enfants sont arrivées, j’ai voulu recréer ça.

Leurs fils, Mickaël Pelletier et Mathis Pelletier, apprennent rapidement et à l’âge adulte, ils coopèrent dans différents projets au côté de leurs parents : albums, spectacles et vidéoclips.

Pour Dave Pelletier, il était naturel de collaborer avec ses fils pour la réalisation de ses chansons. Multi-instrumentiste, Mathis Pelletier joue du clavier, de la basse et de la batterie dans Miroir sur la lune. Pour son premier album paru en 2022, La magie des atomes crochus, son fils Mickaël s’est aussi impliqué en jouant les pistes de guitare électrique.

Des veillées comme dans le temps

Outre les albums, les Pelletier initient en 2014, un spectacle qui deviendra leur signature : l’ Oktoberjam. Un retour aux veillées musicales, comme au temps de leurs grands-parents. « J’ai reparti les veillées familiales avec mon frère, mes cousins et mes cousines, à la maison. Aujourd’hui, c’est devenu notre festival de musique ».

L’édition 2025 regroupait quatre groupes, dont le dernier comptait 12 musiciens sur scène. Le souhait de Dave Pelletier pour l’avenir est que l’Oktoberjam se produise plus d’une fois par année. « Le dernier spectacle c’était un hommage aux années 80. Nous avons plusieurs idées de thématiques pour les prochains », explique-t-il. Un rêve familial qu’il tient à faire grandir.