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10 avril 2018

Dix questions à Pierre Nevraumont, président de la CCIM

©Pierre Nevraumont, président de la Chambre de commerce et d’industrie Les Moulins. (Photo : Ferlandphoto)

Comment se sont passés vos neuf premiers mois à titre de président de la Chambre de commerce et d’industrie Les Moulins?

Ça se passe bien, mais je suis conscient que le travail ne fait que commencer. Inspirée de notre plan stratégique, une nouvelle structure se met en place avec de nouveaux outils plus efficaces et des comités très productifs et prometteurs.

D’où vous vient cet attrait pour le monde des affaires?

Il est très motivant et inspirant de constater à quel point la CCIM peut provoquer des rencontres d'affaires efficaces pour ces créateurs d'emploi passionnés, dans un climat de confiance et de collaboration.

Avez-vous déjà possédé votre propre entreprise?

J'ai eu une petite entreprise pas longtemps, mais l'appel de la gestion s'est pointé assez tôt dans ma carrière et m'a permis, au fil des ans, de côtoyer des gens d'affaires de différents domaines.

Quel entrepreneur vous inspire?

J'ai eu un coup de cœur dès mon arrivée à Mascouche, en 1981, pour la famille Brien, pour son service à la clientèle exemplaire. Ce qui m'inspire actuellement, ce sont les jeunes entrepreneurs, pour leur détermination.  

À la barre de quel type d’entreprise aimeriez-vous être?

Ce serait assurément dans le domaine du spectacle. Tout ce qui touche à la musique, la fête, l'animation me passionne et m'inspire au plus haut point.

En quoi consiste votre travail de gestionnaire de l’aréna de Mascouche?

Je suis responsable de tous les volets de gestion de l'aréna, que ce soit l'entretien ménager, l'entretien préventif, le respect des normes de sécurité, le personnel, les horaires, les locations, les budgets, les relations avec la Ville et les propriétaires, etc.

Vous passez beaucoup de temps dans un aréna, êtes-vous sportif?

Je n'ai jamais eu un grand talent pour le sport. J'ai touché quelque peu au baseball, au vélo, au badminton, au handball, mais jamais de façon assidue. Par contre, je suis un grand «fan» de hockey et de patinage artistique.

Vous adoptez un style plus audacieux sur le plan vestimentaire que la majorité des gens d’affaires, considérez-vous avoir un côté coquet?

Je ne me vois pas comme audacieux. Je dois même avouer que j'ai une certaine retenue pour certaines occasions. Je dois tenir ça de mon père, un homme fier qui me disait souvent : on n'est jamais trop chic.

Que voyez-vous pour la CCIM dans les prochaines années?

Je vois la CCIM, avec la force de ses membres, comme un leader de notre développement d'affaires de concert avec tous les intervenants du milieu.  

Quelle est votre plus grande fierté?

Savoir que j'ai pu faire une belle différence dans la vie des gens. Pour ça, il faut avoir le courage d'être soi-même en faisant de son mieux en toute circonstance. Si chacun de nous laisse briller ses lumières, tout le monde y verra plus clair.

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