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28 mai 2019

Jan-Michaël Poulin s’impose

Jan-Michaël Poulin a remporté son duel contre Jean-Michel Bolivar, le 25 mai, au Colisée Isabelle-Brasseur de Saint-Jean-sur-Richelieu par mise hors de combat. Il s’agit d’une 2e victoire en 2019 pour Poulin et d’une 2e en carrière contre Bolivar.

Le boxeur de Mascouche a mis Bolivar K.-O. au 4e round grâce à des coups au corps. «J’ai décidé d’aller de l’avant et j’ai mis une pression, a avoué celui qui a maintenant un dossier de 6 victoires, de 1 défaite et de 2 combats nuls. Je l’occupais avec des coups uniques, jusqu’à tant qu’il s’approche des câbles. Il a perdu le souffle après deux coups au corps et il n’a pas pu se relever.» Jan-Michaël Poulin s’attendait à faire mal à son adversaire au 5e ou au 6e round du combat prévu pour 6 rounds. Il ne croyait pas terminer le combat plus tôt. «J’ai seulement augmenté le niveau offensif, a dit le pugiliste de 36 ans. Je ne l’ai pas senti plus faible, c’est seulement que les coups étaient parfaitement placés.» «J’avais l’intention de lui faire mal au foie. C’était un coup que j’avais pratiqué au camp, a continué le boxeur, pour qui il s’agissait d’un premier K.-O. en carrière. J’ai créé le trou en le frappant à la tête et il a dû lever sa garde. J’ai été rapide à frapper au corps et il n’a pas eu le temps de baisser les bras.» Malgré la victoire décisive, Jan-Michaël Poulin savait que ce n’était pas un combat gagné d’avance. Le combat de mars 2018 s’était rendu à la limite. «J’ai dû m’adapter parce qu’il me frappait avec violence. Mon adversaire était venu se battre, a-t-il avoué. J’ai pu terminer ma première finale avec un coup spectaculaire. Pour un boxeur, d’arrêter un adversaire au corps, c’est pas mal le summum.» Pour la première fois de sa carrière, Jan-Michaël Poulin était le point de mire d’un gala de boxe en faisant partie de la finale. Bien qu’il ait vécu beaucoup de fébrilité dans les semaines précédant le combat, il soutient que sur le ring, il ne pensait pas qu’il était de la finale. «Je n’ai pas eu de stress supplémentaire pendant le combat. Le stress est plus avant, quand on en parle, a-t-il conclu. Même s’il y a beaucoup de bruit dans la foule, la seule chose que j’écoute, c’est mon entraîneur.»

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