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28 janvier 2020

La magie d’un double langage

La chanson et la danse n’ont fait qu’un au Théâtre du Vieux-Terrebonne, le 18 janvier, alors que PPS Danse et Coup de cœur francophone présentaient l’ode à la vie Danse Lhasa Danse.

Un hommage évocateur de l’œuvre de Lhasa de Sela qui, de son vivant comme après sa mort, invite à célébrer la vie en toute sérénité. Mis en scène par Pierre-Paul Savoie, directeur de PPS Danse, le spectacle s’ouvre sur une chorégraphie de flamenco signée et interprétée par Myriam Allard (sur la photo), sublime à chaque apparition. Dès lors, la force, l’élégance, la sensibilité et le vrai ne quitteront plus la scène pour les quelque deux heures de représentation sans entracte qui suivront. Les pièces de l’artiste décédée il y a 10 ans se succéderont sans artifices, conservant toute leur puissance et leur beauté, alors que les chanteurs Bïa, Alexandre Désilets, Geneviève Toupin et Karen Young se les approprieront brillamment. Pour enrober le tout – ou est-ce l’essence même de Danse Lhasa Danse? –, la danse est magnifiquement portée par Tom Casey, Sébastien Cossette-Masse, Roxanne Duchesne-Roy, Sara Harton, Marie-Eve Lafontaine et David Rancourt, qui s’ajoutent à Myriam Allard, mentionnée plus tôt. Touchant différents styles sans s’éloigner du contemporain, les chorégraphies ont su mettre en lumière les émotions portées par la musique de celle que l’on appelait simplement Lhasa. Texte : Pénélope Clermont

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