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Retour25 novembre 2019
Le monde est beau, selon Parsons Barytch
Le 30 novembre aura lieu le lancement de l’album Beautiful World du groupe Parsons Barytch au bar alternatif l’Hémisphère gauche de Montréal. La Revue a rencontré le batteur du groupe, le Mascouchois Hugo Fortin.
Formé en 2016, Parsons Barytch lance un premier album complet après la parution d’un EP en 2017. «Au départ, c’était un projet d’Alex [Daoust] (The Alex Parsons Barytch Project). Je me suis joint au groupe il y a environ deux ans. Je ne jouais plus dans un groupe et j’avais un ami commun avec Alex. C’est de cette façon qu’on s’est connus.» Musicien depuis pratiquement toujours, Hugo a vu son père jouer à plusieurs occasions à l’église Saint-Louis-de-France. «J’ai commencé à toucher à la batterie très jeune. Un batteur qui jouait avec mon père laissait sa batterie chez nous, alors j’en profitais.»Rythme festif
«Sur le plan de la musique, disons qu’on se situe entre le folk pirate et le gipsy punk, analyse le batteur. Une chose est certaine, ça nous ressemble parfaitement.» Le rythme de l’album est festif. Des rythmes qui bougent, tantôt punks, tantôt progressifs, et une voix éraillée qui donne le ton. Le groupe compte présenter des spectacles à compter de février 2020. «Personnellement, j’ai hâte qu’on puisse se produire chez nous, à Terrebonne ou à Mascouche», conclut Hugo Fortin. L’album Beautiful World de Parsons Barytch est déjà disponible. Il suffit de visiter la page Facebook du groupe pour davantage d’information.
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