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21 décembre 2004

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En réponse à la lettre des docteures Laporte et Lanciault, qui se déclaraient très déçues du manque d’appui des élus au cours des deux dernières années dans le dossier de la Clinique médicale de La Plaine, le député de Masson, Luc Thériault, ainsi que la conseillère municipale et présidente de la Commission de la famille, des affaires sociales, de l’action communautaire et de la condition féminine, Marie-Claude Lamarche, ont voulu donner leur point de vue sur la situation.

Éric Ladouceur

"J’ai appris la fermeture de la clinique de La Plaine dans les journaux en même temps que tout le monde. Personne ne m’avait parlé du dossier avant novembre dernier, et c’est ce qui explique pourquoi je n’ai rien pu faire avant. Cependant, aussitôt que j’ai été mis au courant de la problématique, j’ai communiqué avec les responsables du dossier à l’Agence de développement de réseaux de services de santé et de services sociaux de Lanaudière, et j’ai réuni à la même table Jean-Marc Robitaille, maire de Terrebonne, Marie-Claude Lamarche, conseillère municipale, le docteur Gerry Bédard, directeur des services professionnels et hospitaliers intérimaire au Centre hospitalier Pierre-Le Gardeur, et Daniel Bélec, aujourd’hui directeur du cabinet du maire de Terrebonne et ancien maire de La Plaine, qui a été très impliqué dans l’implantation de cette clinique. Ensemble nous avons élaboré un plan de "Grande séduction" qui, j’ai confiance, va solutionner le problème à long terme", a indiqué le député, qui évoque aussi la formation d’un Groupe de médecine familiale (GMF) comme solution durable.

Impliquée dans le dossier depuis 2001, la conseillère Marie-Claude Lamarche dit, de son côté, avoir toujours eu espoir que l’Agence de santé (anciennement la Régie de la santé) règle le problème. "Ce n’est pas du ressort des Villes de gérer le système de santé. Nous avions fait les démarches nécessaires pour sensibiliser les autorités provinciales au problème de La Plaine, et ce, dès 2002. Nous avons toujours eu confiance que les choses se régleraient, ce qui n’a pas été le cas. C’est ce qui explique qu’aujourd’hui nous devons élaborer une vaste campagne de "Grande séduction" afin de solutionner le problème de façon durable", a souligné Mme Lamarche, qui, elle aussi, est très confiante de voir le problème de pénurie de médecins du secteur de La Plaine être réglé dès 2005.

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