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01 février 2019

Jean-Marc Gilbert - jmgilbert@lexismedia.ca

Terrebonne et Mascouche toujours 10e et 24e

DÉCRET DE POPULATION 2019

Avec des hausses de quelques centaines d'habitants sur leurs territoires respectifs, les villes de Terrebonne et de Mascouche demeurent les 10e  et 24e villes les plus populeuses de la province, selon le dernier décret de population rendu public par le gouvernement et basé sur les estimations de l'Institut de la statistique du Québec.

Selon les chiffres publiés dans la Gazette officielle du Québec le 26 décembre 2018, on prévoit que la population de Terrebonne grimpera de 401 âmes pour atteindre 115 962 personnes, une hausse de 0,35 %, soit une progression moins marquée que celle de 1,75 % l'année dernière. Il s'agit, et de loin, de la ville la plus populeuse de Lanaudière, la deuxième étant Repentigny avec ses 85 334 résidents, selon le même décret. Cette dernière figure au 13e rang provincial. Terrebonne est fin seule en 10e place en ce sens qu'elle n’est pas près de rejoindre la population de Trois-Rivières (136 847) en 9e position, mais aussi loin de se faire rattraper par celle de Saint-Jean-sur-Richelieu (97 087) au 11e rang.

Très similaire à Mascouche

Pour ce qui est de Mascouche, 3e ville en importance dans Lanaudière, elle conserve son 24e rang à l'échelle provinciale avec une population de 48 423, selon les estimations de l'Institut de la statistique. C'est une augmentation prévue de 370 résidents, l'équivalent de 0,77 %. Une hausse légèrement inférieure à celle de 1,16 % constatée l'année dernière. Mascouche est devancée par Rimouski et ses 49 383 habitants, mais se retrouve toujours devant les 47 301 résidents de Victoriaville. C'est donc dire qu'au global, la MRC Les Moulins comprendra une population de 164 385 personnes. On précise toutefois, dans le document, que les chiffres présentés proviennent d'une «estimation provisoire de la population au 1er juillet 2018». On stipule également que la méthodologie utilisée peut changer d'une année à l'autre et que les données présentées dans ces décrets ne sont pas révisées annuellement, ce qui peut entraîner une certaine variation avec les chiffres réels.

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