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24 août 2005

Une Mascouchoise au concours Miss Hawaiian Tropic

À 30 ans, Stéphanie Côté était loin de se douter qu’elle participerait au concours Miss Hawaiian Tropic. Pourtant, grâce au réseau TQS et à l’émission "Caféine", elle était là, les 13 et 14 août, à l’Hippodrome de Montréal parmi plus de 130 candidates, dont seulement quatre allaient être élues Miss Hawaiian Tropic.

Éric Ladouceur

"C’est TQS et les gens de l’émission "Caféine" qui ont envoyé ma candidature à la suite d’un de leurs concours auquel j’ai participé. Même si je n’avais pas gagné, ils ont fait parvenir mon dossier au concours Miss Hawaiian Tropic, et ce, parmi des milliers de dossiers qu’ils avaient reçus", explique Stéphanie.

Une expérience stressante

Sans expérience et parmi les plus "vieilles" candidates inscrites, Stéphanie a décidé de relever le défi devant des milliers de spectateurs, des dizaines de photographes et caméramans, les juges… et les autres candidates.

"C’est très stressant. Il faut être faite forte pour participer à ce genre d’événement. Certaines ont même abandonné. Chose sûre, je ne verrai plus jamais ces concours et émissions de télévision de la même façon. Ça prend vraiment des nerfs à toute épreuve pour passer à travers tout ça. Cependant, si c’était à refaire, je le referais sans hésitation", ajoute la très jolie Mascouchoise.

Malgré qu’elle n’ait pas remporté le concours, elle en ressort gagnante d’une certaine façon, car durant les deux jours qu’a duré l’événement, Stéphanie a appris plusieurs trucs de mannequin, notamment au niveau de la démarche et de la présentation, trucs qu’elle a pu mettre en pratique lors de la deuxième journée du concours, et ce, devant plus de 10 000 spectateurs majoritairement de la gente masculine, comme vous l’aurez deviné.

La piqûre du " catwalk "

Malgré le stress vécu, Stéphanie avoue qu’elle aimerait bien revivre l’expérience un jour et même en faire son gagne-pain. Actuellement conseillère en vente pour une compagnie de téléphones cellulaires, elle semble avoir eu la piqûre du "catwalk" et des flashs. "Malgré la nervosité, c’est aussi une expérience qui donne beaucoup de confiance en soi", conclut la jolie blonde, mère d’une fille de 10 ans.

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