La Capsule temporelle est scellée ! 

Anaïs Aubin, initiatrice du projet, accompagnée par ses parents Gisèle Bernier et Denys Aubin. Photo gracieuseté 
Anaïs Aubin, initiatrice du projet, accompagnée par ses parents Gisèle Bernier et Denys Aubin. Photo gracieuseté 

La Capsule temporelle a été officiellement scellée à l’église Saint-Henri à Mascouche le 15 décembre. Un moment qui marquait l’aboutissement d’un projet citoyen et patrimonial réalisé dans le cadre du 275e anniversaire de la ville.  

Ce projet est né de l’initiative de la citoyenne Anaïs Aubin et a été pensé comme une œuvre collective de médiation culturelle. Les citoyens et citoyennes mobilisés ont été invités à prendre part à un geste de transmission à long terme. La Capsule temporelle renferme des objets, des lettres, des dessins, des témoignages et des souhaits qui brossent un portrait de la réalité de la ville, en 2025. 

Le projet a été réalisé par la Société de développement et d’animation de Mascouche (SODAM), par la Société d’histoire de Mascouche et grâce au soutien financier de la Ville. Cette Capsule temporelle sera conservée dans la crypte de l’église jusqu’en 2050, année du 300e anniversaire de Mascouche.  

« Ce projet a été l’occasion de voir des gens s’arrêter pour réfléchir à ce qu’ils voulaient laisser derrière eux, tout en se projetant dans l’avenir. Plusieurs participants au projet ne seront probablement plus parmi nous dans 25 ans, ce qui a donné une couleur particulière à leurs vœux pour le futur. Nous avons rarement l’occasion de sortir de notre quotidien comme ça, et j’ai trouvé le projet porteur en ce sens », mentionne Valérie Dézelak, coordonnatrice de la Société d’histoire de Mascouche et de la SODAM. 

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