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17 mars 2023

Kim Desormeaux - kdesormeaux@medialo.ca

Un héritage irlandais qui fait partie de l’histoire de Mascouche

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©Société d’histoire de Mascouche

Le 17 mars sera la journée de célébration de la Saint-Patrick. Pour l'occasion, le journal La Revue s’est tourné vers la Société d’histoire de Mascouche afin d’en savoir plus sur l’héritage laissé par les Irlandais qui se sont installés sur le territoire.

Quelques familles pionnières ont en effet demeuré à Mascouche, jadis, et ont ainsi contribué à son histoire au fil des ans. Lancelot Robinson et son épouse Rebecca Haskett arrivent sur le territoire en 1819 avec leurs huit enfants et s’installent sur le chemin des Anglais. Leur fils aîné, Thomas, se marie à une autre Irlandaise nouvellement arrivée à Mascouche, Mary Alexander ; ils ont neuf enfants et élisent domicile sur la ferme paternelle. C’est leur enfant, Francis Albert, qui va assurer la descendance de cette branche à Mascouche.

L’autre grande famille irlandaise qui aura marqué l’histoire de la municipalité est celle de Francis Alexander et de son épouse Elizabeth Wallace, tous deux originaires du comté de King. Ils arrivent à Mascouche en 1824 et s’établissent d’abord sur le chemin Pincourt. Trois de leurs fils s’installent sur le territoire : Henry, Thomas et John.

L'histoire de John est davantage marquante pour la suite, puisqu’il devient un grand propriétaire terrien, possédant la majorité des terres du chemin Newton, quelques terres sur le chemin Pincourt et trois terres sur le chemin Sainte-Marie. Possédant 16 terres, il peut ainsi établir ses 13 enfants, dont 7 fils qui s'installent à Mascouche. Ceux-ci vont contribuer à l’établissement de l’église méthodiste dans le hameau de Mascouche-Rapids. Parmi les fils, James prend domicile sur le chemin Newton. Joseph devient l’un des plus importants agriculteurs du territoire avec sa grande ferme laitière Cloverdale. Il fût aussi maire de Mascouche de 1915 à 1917. George devient pour sa part le maître de poste de Mascouche-Rapids de 1886 à 1913.

D’autres familles pionnières existent, mais celles-ci sont arrivées dans une autre grande vague d’immigration causée par la famine des années 1840.

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